Pourquoi vos briefs se raréfient (l’IA peut inverser la tendance)
En 2025, beaucoup de dirigeants d’agences créatives se posent la même question :
👉 « Pourquoi recevons-nous moins de briefs qu’avant, alors que nos équipes sont prêtes à produire plus, plus vite ? » et La réponse est simple : ce n’est pas votre agence le probleme, c’est le marché qui a changé. Voici les 5 causes majeures derrière la raréfaction des briefs que vous avez peut être constaté — et comment vous pouvez reprendre la main.
1. L’incertitude économique gèle les décisions
Les CMO évoluent dans un environnement marqué par une volatilité permanente : géopolitique, élection, inflation, restructurations internes.
Résultat ? Les budgets marketing sont les premiers sacrifiés.
📉 Gartner révèle que leur poids est passé de 9,1 % du CA en 2023 à 7,7 % en 2024, et la reprise n’est pas attendue en 2025.
👉 Conséquence pour vous : les clients repoussent leurs engagements. Beaucoup n’osent plus briefer, faute de visibilité.
2. Pitches chronophages, résultats maigres
Le marché des pitches s’est effondré : au Royaume-Uni, l’activité a chuté de 21 % en q1 2024.
Et quand vous êtes convié, vous attendez parfois 8 mois une décision… qui ne vient pas.
Pire encore, le ghosting est devenu l’issue la plus fréquente.
👉 Conséquence : vous dépensez en temps et en talents pour des projets fantômes.
3. L’exigence ROI écrase la créativité
Le message est clair côté annonceurs :
« Prouver le ROI n’est plus optionnel. »
Or, trop d’agences continuent de mettre en avant des KPIs de visibilité ou des prix créatifs, là où les clients attendent des preuves tangibles de contribution business.
👉 Conséquence : si vous n’êtes pas capable de lier vos idées à du business mesurable, vos briefs s’évaporent au profit d’acteurs plus « performatifs ».
4. L’IA bouleverse les attentes (et les tarifs)
L’IA a déjà redéfini le jeu.
Les clients partent du principe que tout peut aller plus vite et coûter moins cher.
58 % d’entre eux annoncent vouloir réduire les honoraires d’agence suite à l’intégration de l’IA.
👉 Conséquence : vos devis paraissent « hors-sol » face à des attentes calibrées sur la rapidité et l’idée d’une ia “bouton magique”.
5. Les modèles contractuels se fragmentent
Les retainers disparaissent, remplacés par des projets courts, souvent plus petits, aux conditions de paiement étirées (parfois 90 jours pour les grands groupes).
Et pendant ce temps, les grandes marques multiplient les « rosters » d’agences spécialisées.
👉 Conséquence : les briefs sont plus petits, plus volatils, plus durs à sécuriser.
🎯 Alors, comment inverser la tendance ?
la solution n’est pas d’attendre que « le marché reparte ».
Les agences qui sortent du lot sont celles qui :
Chassent proactivement les opportunités :
Tracking automatisé des appels d’offres via IA (veille + scoring automatique).
Détection des signaux faibles sur LinkedIn, presse sectorielle, réseaux sociaux.
Travaillent leur découvrabilité :
Être visible sur les sujets où les clients cherchent (pas là où tout le monde parle).
Produire du contenu qui inspire confiance et fait émerger de nouveaux briefs.
Repackagent leur offre avec une approche claire de la gouvernance et du ROI :
Promettre sécurité, brand safety, et performance mesurable.
se Positionner clairement sur son usage de l’IA et prouver qu’elle vous rend plus rapide et tout aussi fiables
Conclusion
Les clients n’ont pas arrêté de briefer : ils ont juste commencé à briefer différemment, ailleurs et le feront surtout avec d’autres interlocuteurs si vous ne changez pas de posture.
👉 L’IA n’est pas seulement un outil de production : c’est une arme de conquête commerciale.
Bien utilisée, elle permet de détecter, attirer et qualifier des briefs avant même qu’ils ne soient publiés. ON PEUT VOUS Y AIDER AVEC NOS CONSULTANTS EXPERTS EN AUTOMATISATIONS.
💡 Et dans un monde où chaque pitch raté coûte des dizaines de milliers d’euros en temps homme, vous ne pouvez plus vous permettre de jouer à l’aveugle EN ESPÉRANT DES JOURS MEILLEURS.